Dans son analyse, Ngono a fait un parallèle avec le choix stratégique de Roger Federer, qui, à l’apogée de sa carrière, a opté pour la marque suisse On Running. À l’époque, cette entreprise était encore relativement inconnue, mais Federer, en rachetant 3 % de son capital, a contribué à la propulser vers le succès. Aujourd’hui, On Running est valorisée à plus d’un milliard d’euros, une réussite que le journaliste estime significative dans le monde des affaires.
Cependant, Remy Ngono n’est pas dupe et émet des réserves sur le modèle d’affaires de Fourteen TM, qui n’a pas encore prouvé sa solidité sur le marché international.
« On demande à Samuel Eto’o de la transparence, et non comme la dernière fois avec One All Sports », a-t-il déclaré, faisant référence à l’échec de l’accord entre la Fécafoot et One All Sports. Il rappelle que cette société, qui avait été présentée comme une solution miracle pour le football camerounais, n’était en réalité qu’une coquille vide, une situation qui a laissé plusieurs promesses non tenues.
Ce précédent échec a laissé des cicatrices dans la gestion des partenariats sportifs au Cameroun, et le journaliste appelle à une gestion plus rigoureuse des nouveaux contrats.
Le journaliste conclut en soulignant l’importance d’une communication claire et d’une véritable garantie de bénéfices tangibles pour le football camerounais, dans un contexte où la gestion des partenariats commerciaux revêt une importance stratégique pour le développement de ce sport en Afrique.
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