En effet, bien que la Fécafoot ait finalement validé le choix du technicien belge, elle a nommé ses propres collaborateurs pour l’épauler. En parallèle, le gouvernement, via le Minsep, avait déjà constitué son propre staff technique. Les tensions ont alors atteint un sommet, perturbant la préparation de l’équipe nationale.
À la veille du stage à l’hôtel Hilton, les forces de l’ordre et de sécurité sont intervenues pour recevoir les joueurs, écartant le coordonnateur et le team press de la Fécafoot dans une scène choquante.
Le 3 mai, au stade de Ngoa-Ekellé, le déploiement sécuritaire était au top, avec un contrôle strict des accès par une importante présence policière et gendarmesque. Ce schéma s’est répété lors du deuxième jour de stage, avec un cordon de sécurité encadrant les supporters et l’équipe nationale.
Les supporters ont également remarqué ce déploiement inhabituel, lié selon eux aux tensions entre le Minsep et la Fécafoot, mais également à la nécessité de maintenir l’ordre lors des rassemblements sportifs.
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