Selon la journaliste qui travaille pour le quotidien gouvernemental, le rubicond a clairement été franchi. La situation pourrait prêter à rire si elle n’écorchait pas encore plus l’image de toute une Nation. Depuis mardi donc, « les images des altercations entre le président de la Fecafoot et un haut responsable du ministère des Sports et de l’Éducation physique d’une part et d’autre part, avec le sélectionneur national Marc Brys (qui pourrait ne plus l’être aux yeux de la Fecafoot si la crise connaît entre-temps un autre rebondissement), n’en finissent pas de faire le tour du monde », clame celle-ci.
L’image du Cameroun ne peut pas être plus écornée
« Aujourd’hui, il ne s’agit plus de savoir qui a tort ou raison. Qui est plus fort que qui, Qui a les bras les plus gros et les plus longs. Il faut bien que cette comédie de mauvais goût s’arrête définitivement. Le football est et restera avant tout un jeu. Même s’il est désormais le terrain de jeu favori d’intérêts autres que sportifs. Dans tous les cas, il faut que cette escalade prenne fin, par la paix des braves ou l’intervention salutaire d’une autorité supérieure. Le monde nous regarde. L’image du Cameroun ne peut pas être plus écornée », conclut Josiane R. Matia.
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