Ce soupçon d’ingérence politique a été suscité par la nomination du Belge Marc Brys à la tête des « Lions Indomptables » par le Ministère des Sports et de l’éducation physique, une décision contestée par le président de la FECAFOOT qui revendique le pouvoir de prendre les décisions techniques en tant que chef du football camerounais.
En réaction, Samuel Eto’o a perturbé le rassemblement de l’équipe nationale en prévision des matchs contre le Cap-Vert et l’Angola, comptant pour les éliminatoires du Mondial, se sentant atteint dans sa légitimité.
Dans ce conflit, le président de l’instance eh charge faîtière conserve une importante carte maîtresse : il peut saisir la FIFA, ce qui pourrait entraîner des conséquences désastreuses pour le football camerounais, notamment la suspension des activités des clubs et des équipes nationales en raison de l’ingérence politique.
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