Le Maroc a marqué son nom dans l’histoire du football en devenant le 1er pays africain à se qualifier en demi-finale. Cet exploit aurait sans doute été impossible sans l’incroyable travail de Walid Regragui, le sélectionneur des Lions de l’Atlas indique Topmercato. Sur RMC, le capitaine Romain Saiss n’a pas manqué de faire l’éloge de son coach, rappelant que ce dernier n’avait pris ses fonctions qu’en aout dernier, quelques petits mois seulement avant la grande échéance.
« Le coach Regragui, quand il est arrivé, il n’avait pas énormément de temps pour préparer cette Coupe du monde. Il fallait que son message et ce qu’il voulait pour son équipe, passent rapidement. On a beaucoup échangé avant le Mondial: il est venu à Istanbul pour discuter avec moi, a révélé le joueur qui évolue à Besiktas, en Turquie. Il s’est vité imprégné de l’atmosphère. Tout le monde était conscient de l’importance du rendez-vous, avec le peu de temps qu’on avait pour se préparer. Personne n’a triché, tout le monde a fait les efforts, du staff aux joueurs », a ainsi expliqué le joueur de Beşiktaş JK auprès de notre confrère.
Le cas Vahid Halilhodzic évoqué
Présent sur le plateau de RMC, Romain Saïss, le capitaine du Maroc, est revenu sur ce parcours mouvementé qui a démarré par le départ de Vahid Halilhodzic. « Ce n’était pas gagné d’avance. Tout le monde allait dans le même sens, en étant déterminé pour faire de grandes choses. Avec Vahid, on était arrivé à un point où ça devenait compliqué, même pour lui personnellement, où il se faisait siffler à chaque déplacement. Cela se ressentait dans le groupe forcément. Quand vous jouez au Maroc et qu’on entend son nom pour se faire siffler, ça affecte tout le monde. Cela amène des tensions ».
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