Parmi eux, le secrétaire général de la CAF, le Congolais Véron Mosengo-Omba, est dans la ligne de mire. Selon un article du journal anglais “The Guardian”, il est accusé d’avoir instauré un “environnement stressant, contraire à l’éthique et non professionnel” au sein de l’administration de la CAF, ainsi que d’avoir tenu des propos jugés inappropriés à plusieurs reprises.
De plus, il est pointé du doigt pour avoir saboté le travail du département de la gouvernance, des risques et de la conformité (GRC). Ce comportement pourrait bien lui coûter sa position au sein de l’instance dirigeante du football africain.
Motsepe en route pour un second mandat
Patrice Motsepe, ancien président des Mamelodi Sundowns, ne cache plus son ambition de briguer un second mandat à la tête de la CAF. Le milliardaire sud-africain a d’ailleurs déjà entamé, en toute discrétion, sa campagne électorale, prenant de nouvelles mesures pour renforcer la bonne gouvernance au sein de l’organisation.
Toutefois, son bilan à la tête de l’instance dirigeante du football africain reste controversé. Sous sa direction, l’instance n’a pas réussi à établir une programmation claire pour les compétitions continentales comme dit sur Lattaquant.com. De plus, Motsepe est critiqué pour avoir permis une ingérence accrue de la FIFA dans les affaires du football africain, un sujet sensible qui a provoqué de nombreuses réactions.
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