Dans une interview accordée à la chaîne RTI1 cette semaine , Samuel Eto’o a déclaré : « Il est temps que des pays forts comme le Maroc, l’Égypte, l’Algérie, la Libye, la Tunisie, le Sénégal, la Tanzanie, la RD Congo et l’Afrique du Sud aient au moins quatre équipes dans ces compétitions. »
Lors de cette même intervention, l’un des meilleurs joueurs africains a évoqué les défis auxquels le football africain est confronté, tout en exprimant son admiration pour certains dirigeants africains. Bien qu’il ait salué les efforts du Roi du Maroc, il a étonnamment omis de mentionner le président algérien Abdelmadjid Tebboune, malgré ses contributions pour soutenir les nations du continent.
L’ancien attaquant a aussi répondu aux accusations de corruption et de manipulation de matchs, déclarant : « J’étais innocent, mon Seigneur m’a justifié. » Eto’o a souligné que son parcours était bien connu et qu’il n’avait pas besoin de se présenter tout en critiquant également la tendance sur le continent à décourager ceux qui réussissent, tout en soutenant ceux qui échouent.
Mettant en lumière les lacunes infrastructurelles du football africain, le président actuel de la Fecafoot a appelé à une amélioration des stades, au développement des jeunes talents et à la stabilité financière des clubs. Pour lui, ces éléments sont essentiels si l’Afrique veut rivaliser au niveau mondial.
Enfin, le quadruple ballon d’or africain a exprimé son respect pour trois présidents africains, louant le travail des fédérations au Maroc, au Sénégal et en Mauritanie.
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