En effet, ses propos, empreints de critique et de scepticisme, mettent en lumière les défis auxquels est confronté le football camerounais.
« Malheureusement, on assiste au déclassement du Cameroun, l’attractivité qui est en baisse », a déploré Djellit, soulignant ainsi le déclin de l’intérêt pour le poste de sélectionneur national. Il a remis en question le processus de sélection du ministère des Sports, suggérant que le choix du nouveau sélectionneur pourrait être le résultat d’un manque d’options attractives ou de contraintes financières.
Nabil Djellit a exprimé son scepticisme quant à la capacité des meilleurs entraîneurs à relever le défi de diriger l’équipe nationale camerounaise, décrivant la situation comme un « bourbier ». Il a souligné que même les entraîneurs avec un CV impressionnant pourraient être réticents à prendre en charge l’équipe nationale dans les circonstances actuelles.
Le journaliste a également mis en lumière les tensions entre le ministère des Sports et l’ancienne star du football camerounais, Samuel Eto’o. Il a suggéré que ces tensions pourraient avoir influencé le choix du nouveau sélectionneur, remettant ainsi en question l’objectivité du processus de sélection.
Enfin, le journaliste Algérien a exprimé des doutes sur la connaissance de Eto’o à l’égard du nouveau sélectionneur, Marc Brys, affirmant que même ce dernier pourrait ne pas être familier pour Eto’o. Il a appelé à une clarification sur les connaissances et les opinions de Eto’o concernant Brys, soulignant l’importance de la transparence dans le processus de sélection.
Il est donc clair que ces propos mettent en évidence la nécessité d’une réflexion sérieuse et d’une transparence accrue dans le processus de sélection des entraîneurs nationaux, afin de restaurer la confiance et l’intégrité dans le sport national.
GIPHY App Key not set. Please check settings